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Fresques Yucatèque, Quechua et Mam.

Il y a un total de 50 fresques à découvrir dans Shadow of the Tomb Raider décrivant des divinités, rois, reines ou temples mayas, aztèques et incas répartis dans huit régions. Elles sont découvertes par Lara Croft et permettent pour certaines, de comprendre la culture précolombienne, notamment avec les détails historiques réels des dieux et déesses maya, inca ou aztèque, mais aussi de résoudre des tombeaux.

Cozumel[]

  • Le cœur du Serpent : « Ce document décrit une sorte de voyage ou de pèlerinage entrepris par les Mayas. Ils transportaient un objet de grande valeur et se dirigeaient vers le sud, vers la source du poisson rose. L'Amazone, exactement comme l'avait dit Jonah. » (Mam)
  • Le temple de la Lune : « Ceux qui en sont dignes seront sacrifiés à la Déesse rouge, déesse de la lune croissante et décroissante, notre aïeule à tous. Preneuse et donneuse de vie. » (Mam)

Jungle Péruvienne[]

  • Urqu, l'éclaireur : « Puisse Urqu avoir l'honneur de tracer le chemin qui relie cette vie à la suivante, pour que nous puissions tous l'emprunter sans encombre. » (Quechua)
  • Rimak, la conteuse : « Puisse la voix de Rimak être la première à raisonner à nos oreilles dans l'au-delà, pour que ses histoires nous apportent le réconfort. » (Quechua)
  • Kon : « Cela représente le dieu inca Kon, fils d'Inti, le dieu Soleil, et de Pachamama, la déesse de la lune. Kon régnait sur les vents et la pluie, même si certaines légendes font de lui le dieu des phénomènes climatiques venus du sud, alors que son frère Pachacamac régnait sur le vent et la pluie venus du nord. » (Quechua)
  • Seigneurs de la mort : « Ces deux dieux règnent sur l'au-delà maya, Xibalba, littéralement « le lieu de l'effroi ». Vucub Caquix, ou « Sept aras », était un énorme oiseau dont on disait qu'il portait le faux soleil dans son bec. Son subordonné était Hun Came, « Mort unique ». Ils furent tués par les Jumeaux héroïques après des parties de jeu au cours desquelles les deux camps trichèrent. Vucub Caquix, notamment, perdit aux fléchette lorsque les Jumeaux utilisèrent leurs sarbacanes. » (Mam)
  • Dieu de la mort : « Une représentation d'Ah Puch, dieu de la mort et seigneur de Mitnal, le neuvième et plus atroce des cercles de l'enfer maya. Ah Puch aimait se vêtir de chair en putréfaction et se rendre à la surface du monde pour chasser les vivants. D'après la légende, la seule façon de lui échapper était de hurler comme si vous étiez en proie à la pire des agonies ; de cette façon, Ah Puch était amené à croire que vous aviez déjà été torturé par l'un de ses démons, et ne s'intéressait donc pas à vous. Son démon de compagnie était un petit-duc appelé Muan. » (Mam)
  • Sous le regard des juges : « C'est ici qu'on amenait les accusés pour qu'ils se battent sous le regard attentif des dieux, seuls juges réputés infaillibles. Ceux qui prouvaient leur innocence pouvaient partir, mais les coupables étaient exécutés et envoyés à Xibalba. » (Mam)
  • Entrée du monde des morts : « C'est ici, sous le regard attentif de l'un des dieux de la Mort, que se cache la porte de Xibalba, que tous doivent franchir pour passer de cette vie à la suivante. » (Mam)

Kuwaq Yaku[]

  • Inti : « Ce disque brillant et doré ne fait aucun doute, il s'agit d'Inti, le plus grand des dieux incas. Dieu-soleil, il était le protecteur du peuple, à qui il donnait la chaleur et la lumière. Selon certaines légendes, il aurait enseigné aux humains les rudiments de la civilisation. Les empereurs incas se considéraient comme ses descendants directs, voire, pour certains, comme la réincarnation de ce dieu sur la terre. » (Quechua)
  • Urcuchillay : « C'est étrange. On distingue des troupeaux de moutons, de lamas et de chèvres, mais il est rare qu'un seul berger s'occupe ainsi de trois troupeaux différents. Ce lama, perché sur la colline... Ce doit être Urcuchillay, le dieu inca protecteur des animaux. Urcuchillay est souvent représenté sous la forme d'un lama. Cette œuvre est une offrande des bergers locaux au dieu qui veille sur leurs troupeaux, pour le remercier de sa protection. » (Quechua)
  • Coniraya : « Voici Coniraya, le dieu inca de la lune. Il n'était pas très important, et n'avait donc pas de partenaire. Ceci raconte comment il transforma son sperme en fruit, et comment la déesse Cavillaca tomba enceinte en le mangeant. Cette grossesse fut une grande surprise pour Cavillaca, qui était vierge. A sa naissance, le fils de Cavillaca résolut immédiatement le mystère de sa paternité en raampant tout droit vers Coniraya. Cavillaca se sentit tellement humiliée par le piètre statut de Coniraya qu'elle s'enfuit au Pérou avec son fils, où ils se transformèrent en rochers sur la côte. » (Quechua)
  • Supay : « C'est un hommage à Supay, le dieu de la mort et roi d'Ukhu Pacha, l'enfer des Inca. On l'invite à se présenter ici, avec ses légions de démons, pour recevoir les honneurs du peuple : des odes à sa grandeur, ou des offrandes de nourriture et de boisson. En lui rendant ainsi l'hommage qu'il mérite, les autochtones espèrent qu'il ne prendra pas plus de vies que nécessaires, épargnant ainsi les autre membres de leur communauté. » (Quechua)
  • Pachamama : « Un dragon... Sans doute représentation de la Pachamama, la déesse inca de la maternité, de la terre et du temps, qui règne sur la fertilité, les récoltes et les semailles. Les montagnes étaient son corps, et elle pouvait aussi déclencher des séismes. Les gens confectionnaient des vêtements miniatures, très décorés, simplement pour les brûler en offrande à la Pachamama. Cela expliquerait les traces de brûlures sur le sol... Et ces marques brunes doivent être du sang de lama, un animal souvent sacrifié aux dieux. » (Quechua)
  • Le temple de la mort : « Entre la vie et la mort, de la pleine lune à la nouvelle, ce temple est le gardien de la boîte d'argent. » (Mam)
  • Le temple de la vie : « Entre la mort et la vie, de la nouvelle lune à la pleine, ce temple est le gardien de la boîte d'argent. » (Mam)
  • Dieu des suicides : « Le suicide n'était pas interdit chez les Mayas, il était même considéré comme une alternative honorable à la vie. Ainsi, par le suicide, il était possible de sauter les enfers et d'aller directement au paradis, comme tous ceux qui mouraient d'une mort honorable : les sacrifiés, ceux qui étaient morts au combat ou en couches, et ceux tombés au jeu de balle. Les suicidés étaient accompagnés dans leur voyage au paradis par la déesse Ixtab aussi appelée la Femme-corde. Elle était la déesse des suicidés, en particulier des suicides par pendaison, et se manifestait sous la forme d'un cadavre en putréfaction pendant au bout d'une corde. » (Mam)
  • Wayta, le tyran : « Puisse la soif de pouvoir de Wayta être enfin étanchée, lorsque viendra pour nous le temps de la rejoindre dans l'au-delà. » (Quechua)
  • Cavernes hurlantes : « Quand les cavernes se mettent à hurler, un guerrier doit descendre soulager ce tourment. Si on ne peut pas sacrifier un guerrier, tous mourront. » (Mam)

Épreuve de l'Aigle[]

  • Un monde en ruines : « Le monde autour d'eux commença à tomber en ruines, et le peuple décida de partir. L'artéfact qu'on leur avait confié les poussa à faire route vers le sud, de peur qu'il ne soit saisi par l'ennemi. » (Mam)
  • Âge d'or : « Paititi prospère sous le regard et les conseils bienveillants d'Yskar Yaway. On construit des habitations, des temples. Le peuple vit dans la paix et la prospérité. » (Mam)

Cité Perdue[]

  • Chuki, le tisserand : « Puisse Chucki avoir eu le temps de nous tisser une tunique dans la plus belle laine, lorsque viendra pour nous le temps de rejoindre l'au-delà. » (Quechua)
  • Miroirs : « Tourner le 1er miroir à gauche... Suivre le faisceau de lumière jusqu'au 2e miroir... Tourner le 2e miroir en diagonale en travers de la pièce... Revenir au 1er miroir... On dirait des instructions, mais la suite est illisible. » (Mam)
  • Temple du soleil : « Seuls les êtres dignes peuvent invoquer Kinich Ahau. Servez-vous de sa lumière pour libérer votre cœur et la cité des ténèbres. » (Mam)
  • Dieu de la fertilité : « Chaac était un dieu très important chez les Mayas. Il leur enseigna les secrets de l'agriculture et veillait sur les récoltes. Il était associé à toutes les formes de la fertilité et régnait également sur les vents, la foudre et la pluie, celle-ci étant causée par ses larmes. Il était le protecteur des sources, des puits, des ruisseaux et des cénotes. Comme tout ce sur quoi il régnait, il était considéré comme bienveillant et nourricier, mais également imprévisible. Physiquement, Chaac était représenté comme un reptile doté de cheveux emmêlés, et peint de blanc, rouge, jaune et noir, couleurs représentant le nord, l'est, le sud et l'ouest. » (Mam)
  • Guerre civile : « Les Mayas et les Incas font face, d'un côté, à leurs frères qui veulent battre en retraite pour tout recommencer, et de l'autre, à ceux qui veulent conquérir plus de territoires. » (Quechua)
  • Chasse sans fin : « Les protecteurs ont échoué... et sont condamnés à pourchasser ce qu'ils ont perdu. » (Mam)
  • Dieu de l'éducation : « Itzamna était le fils du dieu créateur maya Hunab Ku. En tant que dieu de l'éducation, il avait inventé l'écriture et les livres, ce qui lui donna un rôle essentiel dans l'essor de la culture maya. Il était aussi le dieu de l'agriculture et des médecins, soignant les gens de sa main brûlante. Itzamna était souvent représenté sous la forme d'un reptile, mais il était également connu sous la forme de Kinich Ahau, un ara de feu qui régnait sur le chiffre quatre, la sécheresse et la maladie. » (Mam)
  • Viracocha : « C'est une représentation de Viracocha, le père de la création. On y voit la façon dont il a créé les cieux, la terre, le soleil, les étoiles, la lune et le temps, ainsi que toutes les créatures vivantes, y compris les dieux. A l'origine, Viracocha était considéré comme le dieu suprême du panthéon inca, mais au fil du temps, cet honneur alla à son fils, Inti, le dieu-soleil. Malgré tout, Viracocha conserva son lien avec l'océan, son nom signifiant « écume de mer ». » (Quechua)
  • Une mère nature dévorante : « La déesse Coatlicue, dont le nom signifie « jupe de serpents », est représentée sous les traits d'une femme au buste opulent portant des serpents autour de la taille. On l'appelle également Teteoinan, « la mère des dieux ». Elle donna naissance à la lune et aux étoiles, et eut plus de quatre cents enfants, dont le dieu-soleil Huitzilopochtli, dieu de la guerre. En plus d'être mère, elle est également la grande dévoreuse de toute vie. On dit qu'elle a été sacrifiée pour permettre l'avènement de notre ère. » (Yucatèque)
  • Premier contact : « Comme dans la prophétie, des guerriers étranges montés sur de grands animaux arrivèrent à l'aube, annoncés par une colonne de flammes qui brûlaient dans la nuit, par la destruction de nos temples, et par les mises en garde de la pleureuse et de l'homme à deux têtes. Ils tuèrent les chefs qui étaient faibles et s'approprièrent la terre et les hommes. » (Mam)
  • Fondation de Paititi : « La procession arriva à l'embranchement de deux fleuves, et décida de s'y installer. Ils bâtirent deux pyramides, et commencèrent leur nouvelle vie de protecteurs de la boîte. » (Mam)
  • Se protéger contre le serpent : « On n'y voit pas grand-chose... Des gens, entre deux fleuves. Ils n'étaient pas seuls. Pourtant, ces étrangers ont l'air plutôt inoffensifs. » (Mam)
  • Montagne couronnée d'argent : « Le sommet de cette montagne se cache derrière d'épais nuages. Je ne vois pas bien ce que représentent ces deux petites collines de chaque côté. » (Mam)
  • Naissance : « Enfant de la famine, il grandit en rebelle. Orphelin, il n'est jamais seul. Tel le soleil, il nous éclaire. » (Quechua)
  • Déité maternelle : « La déesse maya Ix Chel, tout comme les déesses de la lune dans beaucoup d'autres cultures, était également une déesse-mère associées à la grossesse et à l'accouchement. Elle régnait sur les chutes d'eau, les averses et les arcs-en-ciel, ainsi que sur l'artisanat, comme la peinture ou le tissage, qui sont ses inventions. Cependant, elle n'était pas qu'une déesse nourricière : ses cheveux étaient des serpents vivants, elle portait une jupe d'os, et son tempérament était légendaire. » (Mam)
  • Voie du combat : « Que ceux qui se pensent courageux et audacieux s'avancent. Qu'ils essaient de survivre aux épreuves qui les attendent ici. Ceux qui y parviendront auront mérité le statut de guerrier. » (Mam)
  • Ollanta, la potière : « Puisse Ollanta trouver suffisamment d'argile et de métaux dans l'au-delà pour exprimer son art. » (Quechua)
  • La révolte d'Unuratu : « On dirait la révolte menée par Unuratu, avec une éclipse de soleil presque totale en arrière-plan. » (Quechua)
  • Le paysan salvateur : « On peut y voir le pèlerinage des habitants d'une grande cité... Ça doit être Manco qui mène les ancêtres de la prêtresse loin de Cuzco. » (Quechua)
  • Uturunku, le passeur : « Puissent les rivières de l'au-delà être calmes, et le bateau d'Uturanka suffisamment solide pour nous permettre de les franchir. » (Quechua)
  • Le serpent à plume : « Voilà Quetzalcoatl, le Serpent à plumes. Les Aztèques le vénéraient et le considéraient comme une force de la nature, régnant sur le vent et la pluie. Lorsqu'il était en colère, ces phénomènes naturels prenaient une tournure extrême et purifiaient le ciel et la terre. Pour cette raison, il est également associé à la justice et à la miséricorde. D'après la légende, il se serait, un jour d'ivresse, mal comporté avec sa sœur, Pour s'en repentir, il s'immola par le feu, mais ses cendres s'élevèrent jusqu'au ciel et il devint ainsi également le dieu de la lumière. » (Yucatèque)
  • Qipsi, le marchand : « Puisse Qispi avoir eu le temps d'acquérir nourriture et matériel, lorsque viendra pour nous le temps de la rejoindre dans l'au-delà. » (Quechua)
  • Ancien aqueduc : « La force d'une cité est équivalente à celle de ses récoltes et de son peuple. D'ici, nous pouvons contrôler l'eau, et nous ne dépendrons plus jamais du bon vouloir des pluies. » (Mam)

Ventre du Serpent[]

  • L'attente : « Ce personnage a l'air en paix, comme s'il attendait quelque chose. » (Mam)

Lit de la rivière / Gisement de pétrole[]

  • Saramama : « Ça doit être Saramama. J'ai toujours trouvé son culte amusant. Elle était la déesse inca du grain, et son nom signifie « mère du maïs ». Quand un paysan trouvait un plant de maïs de forme étrange, il l'habillait d'une robe en son honneur. Elle était aussi la déesse des saules, et parfois les paysans accrochaient leurs poupées de maïs à un saule et dansaient autour. » (Quechua)

Mission de San Juan[]

  • Huascar, le syncrétiste : « Puisse Huascar en savoir assez sur les deux au-delà pour nous guider si jamais nous les rejoignons. » (Quechua)
  • Dieu du cacao : « Ce dieu maya a la peau très sombre, presque noire, ses yeux sont cerclés de noir et les traits de son visage semblent presque se fondre à leurs extrémités. Ça ne peut être qu'Ek Chuah, le dieu de la cabosse de cacao, ce qui explique sa couleur. Les Mésoaméricains utilisant les fèves de cacao comme devise, Ek Chuah devint le dieu des marchands et du commerce. Étonnamment, les premières mentions qui sont faites de lui le présentaient comme le dieu du conflit. » (Mam)
  • Dieux assoiffés : « En cas de tempête ou de crue, dirigez les eaux pour étancher la soif des dieux, qui bataillent dans les cieux et sous nos pieds. » (Mam)
  • L'arbre de vie : « Depuis ses racines dans l'au-delà, abritant des chauves-souris, il pousse droit vers le ciel, vénérable. Son tronc renferme le royaume des hommes, et ses branches étendent ses feuilles blanches à travers le ciel nocturne. » (Mam)

Navigation[]

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