Législatives : le nom du Premier ministre du Nouveau Front populaire connu "ce soir ou demain", suivez notre direct

Fumée blanche à gauche ? Le nom du Premier ministre pourrait être bientôt dévoilé par le Nouveau Front populaire. Suivez notre direct.

Arrivé en tête des élections législatives, le Nouveau Front populaire n'a toujours pas proposé de nom pour le poste de Premier ministre. (Photo JULIEN DE ROSA / AFP)
Arrivé en tête des élections législatives, le Nouveau Front populaire n'a toujours pas proposé de nom pour le poste de Premier ministre. (Photo JULIEN DE ROSA / AFP)

La situation politique est toujours aussi floue quatre jours après le second tour des élections législatives, qui ont donné une majorité relative au Nouveau Front Populaire. Ces derniers n'ont pas encore donné le nom de leur candidat pour le poste de Premier ministre.

Avec une lettre aux Français dans laquelle il renvoie implicitement LFI et le RN dos-à-dos, Emmanuel Macron appelle les "forces politiques se reconnaissant dans les institutions républicaines" de "bâtir une majorité solide". Le chef de l'État "décidera de la nomination du Premier ministre" lorsque les partis auront "bâti" des "compromis", écrit-il. Une lettre qui suscite la colère à gauche. Emmanuel Macron "refuse de reconnaître le résultat des urnes" et doit "s'incliner" face au Nouveau Front populaire, dit Jean-Luc Mélenchon.

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  • À la une

    Le nom du Premier ministre à gauche connu "ce soir ou demain," assure Sandra Regol

    Vers la fin du feuilleton qui agite le Nouveau Front Populaire depuis quatre jours ? Selon la députée écologiste du Bas-Rhin Sandra Regol, le nom du candidat pour Matignon issu du NFP sera connu "d'ici ce soir, peut-être d'ici demain matin", assure-t-elle sur franceinfo."On est en train d'avancer pour avoir un gouvernement qui soit à même très rapidement de faire passer les réformes qui vont améliorer concrètement la vie des Françaises et des Français", poursuit-elle.

    Au sein du NFP et plus particulièrement des Écologistes, plusieurs voix comme celles de Sandrine Rousseau ou Cyrielle Châtelain se sont élevées ces dernières heures pour dénoncer le temps mis par le NFP pour proposer un nom de candidat pour être Premier ministre.

  • Une enquête ouverte contre le site Réseau libre qui listait les avocats "à éliminer"

    Une centaine d'avocats avaient été menacés de mort, début juillet, par un site d'ultra droite après avoir publié une tribune anti-RN. Le parquet de Paris a ouvert une enquête, rapporte l'AFP, le Pôle national de lutte contre la haine en ligne du parquet (PNLH) a saisi vendredi l’Office anti-cybercriminalité (Ofac) de la police judiciaire de Versailles pour menaces de mort et cyberharcèlement.

    Le barreau de Paris avait émis un signalement, et un collectif d’avocats avait déposé plainte contre le site "Réseau Libre - le réseau des patriotes".

    Cette procédure judiciaire fait suite à la publication, le 3 juillet dernier sur ce site, d’une liste comprenant une liste d'avocats "à envoyer dans un fossé ou dans un stade". Liste qui reprenait celle des signataires d'une tribune anti-RN intitulée "Avocats, nous nous constituons en brigade du droit contre le Rassemblement national".

    Le site Réseau Libre, qui n'est aujourd'hui plus accessible après une procédure judiciaire qui a contraint les fournisseurs d’accès à Internet à bloquer l’accès au site selon Marianne, avait également publié une lsite similaire de politiques à éliminer, suscitant un vif émoi. Quatre élus de gauche : Alexis Corbière, Manuel Bompard, Ian Brossat et Rachel Keke, étaient également visés par ces menaces émises dans le cadre des législatives.

    En octobre dernier, relève l'Humanité, le même site avait publié une liste de 180 noms intitulée "la liste des candidats à la balle dans la nuque", comprenant des journalistes, responsables politiques ou syndicaux et personnalités publiques.

  • Bataille entre Borne et Attal pour la tête du groupe Renaissance, Darmanin en retrait ?

    Le groupe Renaissance n'est pas non plus exempté de tout conflit interne. Alors que se profile la question du président du groupe Renaissance à l'Assemblée, Le Figaro rapporte les luttes internes qui agitent le parti.

    D'un côté, l'ancienne Première ministre Élisabeth Borne, un temps donnée partante de Renaissance, mais qui pourrait finalement briguer sa tête, pas convaincue par la ligne portée par Gabriel Attal. Elle aurait, toujours selon Le Figaro, refusé d'être première vice-présidente sous l'autorité de Gabriel Attal, ce qu'Élisabeth Borne a refusé.

    Le futur ex-Premier ministre est le candidat déclaré à la tête du groupe depuis plusieurs jours. Lui refuse l'idée d'une direction collégiale avec Élisabeth Borne, scénario qui aurait pourtant convaincu l'ex Première ministre.

    Parfois présenté comme acquis à Gabriel Attal, le groupe Renaissance à l’Assemblée sera-t-il le théâtre d’un match entre anciens premiers ministres ? Le scénario prend de l'épaisseur alors que, selon nos informations, Élisabeth Borne est consultée en ce sens. L'ancienne chef du gouvernement, débarquée de Matignon en janvier dernier, pourrait déclarer prochainement sa candidature. L'hypothèse court tandis que son entourage, interrogé par Le Figaro, n'a pas souhaité la démentir. «Elle se compte», constate un parlementaire.

    De son côté, un temps pressenti, Gérald Darmanin pourrait renoncer et rallier Élisabeth Borne si elle faisait le choix de se présenter. Dans une forme d’entente inédite contre Gabriel Attal.

    Un retrait stratégique, poursuit Le Figaro, qui rapporte les propos de responsables macronistes qui estiment que l’actuel ministre de l’Intérieur rêve en fait de prendre la direction du parti, dont le congrès se tiendra à l’automne.

  • Ministres binationaux: le député RN Roger Chudeau "s'excuse" après ses propos sur Najat Vallaud-Belkacem

    Présenté comme un possible ministre de l'Éducation en cas d'arriver au pouvoir du RN, Roger Chudeau avait choqué. Désormais réélu, il "s'excuse" sur les réseaux sociaux et explique vouloir "dissiper toute ambiguïté".

    "Si mes propos ont pu choquer nos compatriotes binationaux, je m’en excuse. De même, je n’ai pas voulu offenser la personne de la ministre Vallaud-Belkacem, mais ai critiqué sa politique éducative", écrit-il sur X. En revanche, il ne revient pas sur la fausse information propagée concernant l'ancienne ministre de l'Éducation. Roger Chudeau avait affirmé qu'elle "a voulu instituer au CP, au cours préparatoire, des cours d’arabe". Elle avait en réalité voulu favoriser l'apprentissage d'une langue étrangère dès le Cours Préparatoire.

    Plus d'infos dans cet article

  • Finalement, Élisabeth Borne siégera avec Renaissance selon son entourage

    Fin du suspens concernant le groupe au sein duquel l'ancienne Première ministre, réélue dans le Calvados, siégera. Selon son entourage, qui s'est confié à l'AFP, l’ancienne Première ministre "s’est rattachée au groupe Renaissance".

    Son nom était évoqué tantôt au sein du groupe censé incarner l'"aile gauche" de la macronie, et voulu par Sacha Houlié, tantôt au sein du Modem de François Bayrou, membre de l'alliance macroniste. Les groupes peuvent être constitués jusqu'au 18 juillet, date de la première session parlementaire. Des groupes à l'importance politique élevée, comme nous l'expliquons dans cet article.

  • Benoît Hamon en appelle au recours à la société civile pour sortir du blocage

    Dans une tribune publiée sur Le Huff, l’ancien ministre et candidat socialiste à la présidentielle Benoît Hamon appelle à gouverner avec la société civile pour sortir de l’actuel blocage.

    "Qui, pour résister au cynisme électoral, à la panique identitaire et à la déchéance xénophobe d’une partie des élites ? Le rempart qui tient bon est celui de la société civile engagée", écrit-il notamment.

    L'intégralité de sa tribune est à retrouver ici

  • "T'es député toi ? Il faut se couper les cheveux" : l'élu NFP Steevy Gustave victime de propos déplacés, indignations à gauche

    "Je ne pensais pas que dans cette jolie institution, je recevrais ce quolibet auquel je suis habitué par ailleurs". À peine élu, le député NFP de l’Essonne, élu sous l’étiquette écologiste, a été l’objet de remarques plus proches du racisme que de la maladresse de la part d'un homme d'une soixantaine d'années, qui est peut-être également un député.

    Une réplique "T'es député toi ? Il faut se couper les cheveux" en raison des dreads du député, qui ont entrainé sur salve de soutien de la part des membres du Nouveau Front Populaire "Ici on préfère les dreadlocks aux casquettes nazies", a notamment répliqué le député NFP François Piquemal, en référence à la candidate RN épinglée dans la campagne d’entre deux tours pour avoir posé avec une casquette nazie. Elle s’était finalement retirée.

    Plus d’infos dans cet article

  • Olivier Faure dénonce le "sectarisme" et le "cynisme" de Gérard Larcher

    Le premier secrétaire du Parti socialiste et député réélu Olivier Faure n'a pas apprécié les propos de Gérard Larcher. Le président du Sénat a annoncé sur BFMTV que si le président choisissait un ministre issu du Nouveau Front Populaire, dont le PS fait partie, il appellerait à "censurer" le gouvernement.

    "LR a refusé de participer au front républicain. La gauche s’est désistée pour ses candidats sans aucun retour. Nous l’avons fait parce que nous connaissons le péril de l’extrême droite. Elle est là, la noblesse de la gauche. Dans les propos de Gérard Larcher je ne vois que sectarisme et cynisme", écrit sur X Olivier Faure.

  • Élisabeth Borne au sein du groupe Modem ?

    La question des groupes parlementaires semble se régler petit-à-petit, mais certains députés semblent encore hésiter. C'est par exemple le cas, emblématique, de l'ancienne Première ministre Élisabeth Borne, députée du Calvados.

    Ces derniers jours, son nom était évoqué pour faire partie d'un groupe de l'"aile gauche", voulu par Sacha Houlié. Mais selon le service politique de TF1-LCI, elle serait finalement encline à siéger au sein du groupe Modem.

    La situation s'éclaircit également concernant le groupe de la Droite Républicaine, ex-LR, présidé par Laurent Wauquiez. Un journaliste du Parisien indique que 44 députés sont pour l'heure inscrits, seuls 5 LR sortants manquent pour l'heure à l'appel. Les groupes doivent être constitués au plus tard le 18 juillet pour la première session parlementaire.

  • "Il faut que ça s'arrête" : ces ministres pressés d'en finir avec le gouvernement actuel

    Quatre jours après la défaite de la macronie aux élections législatives, le gouvernement est toujours en poste. En son sein, certains n'en peuvent plus de cette situation, alors qu'ils savent pertinemment qu'ils vivent leurs dernières heures de ministres.

    "On est nombreux à faire pression pour que le président nous libère, on est plus légitimes, on n’a plus de majorité. Il faut que ça s’arrête !", résume un membre de ce gouvernement auprès de BFMTV. La démission du gouvernement pourrait avoir lieu le 17 juillet.

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  • Des manifestations et des grèves pour pousser vers un gouvernement NFP ?

    Alors que le scénario d'un Premier ministre issu du Nouveau Front Populaire et d'un gouvernement avec plusieurs de ses membres semble s'éloigner sous les mises en garde de la droite, certains en appellent à des manifestations et des grèves.

    C'est notamment le cas de Philippe Poutou, battu aux législatives, qui estime qu'il est très probable que "pour obtenir un gouvernement de gauche menant une politique de gauche, il faille pousser très fort par en bas, par une mobilisation unitaire, des manif, des grèves".

    Un appel qui rejoint celui de la CGT Cheminots qui appelle, le 18 juillet, à organiser des rassemblements devant les préfectures et l'Assemblée nationale pour "exiger le respect des urnes".

    Il faut rejoindre ces rassemblements pour mettre l'Assemblée nationale sous surveillance. Il faut qu'il y ait une pression populaire, citoyenne, pour que le résultat des élections soit respecté", a insisté la secrétaire générale de la CGT Sophie Binet sur LCI. Toutefois, elle a assuré qu'à ce stade il n'y a pas de grève prévue pendant les JO".

  • Pourquoi le gouvernement devrait sans doute démissionner avant le 18 juillet ?

    Officiellement, le gouvernement de Gabriel Attal est toujours en place, malgré la défaite de l'alliance macroniste aux élections législatives de dimanche dernier. Mais les heures de ce gouvernement sont comptées.

    Car le 18 juillet marquera la première session parlementaire des députés, et l'élection de postes-clés : la présidence de l'Assemblée, mais aussi les vice-présidents, les questeurs et les secrétaires de l'Assemblée. Autant de postes à répartir entre les différents groupes parlementaires.

    Mais la règle veut que les députés qui sont encore ministres ne peuvent pas voter. Une règle qui toutefois ne s'applique pas si le gouvernement est démissionnaire.

    Or, 17 ministres ont été élus lors des élections législatives anticipées. Parmi eux Gabriel Attal, Gérald Darmanin, ou encore Prisca Thévenot. 17 voix dont Ensemble ne compte pas se priver pour le 18 juillet et les élections des postes clés de l'Assemblée. Selon Politico, la démission du gouvernement pourrait être acceptée par Emmanuel Macron le 17 juillet.

  • La lettre de Macron suscite la colère du NFP au RN en passant par la CFDT et la CGT

    La lettre aux Français écrite par Emmanuel Macron n'en finit pas de susciter une large opposition. Alors que Marine Le Pen a dénoncé le "cirque indigne" de Macron et que Jean-Luc Mélenchon estime qu'avec cette lettre, le chef de l'État "refuse de reconnaître le résultat des urnes", ajoutant que le président de la République doit "s'incliner" face au Nouveau Front populaire, c'est au tour des syndicats de réagir vivement.

    "Je suis très inquiète parce que je crois qu’Emmanuel Macron n’a toujours pas compris qu’il est président de la République et que quand on est président de la République, on doit être garant du respect des institutions", a estimé la secrétaire générale de la CGT Sophie Binet sur LCI, estimant avoir "l’impression d’avoir Louis XVI qui s’enferme à Versailles".

    Du côté de la CFDT, Marylise Léon a déploré sur France Inter que le chef de l'État "ne parle pas vraiment aux Français". "Les attentes des travailleurs et des travailleuses autour du pouvoir d’achat, des conditions de travail, elles ne se sont pas dissoutes avec les élections législatives", estimant par ailleurs qu'il serait "légitime" que ce soit le "bloc qui arrive en tête" qui "pose les conditions et qu’on parte de leur programme".

  • Qui comme Premier ministre ?

    Alors que le Nouveau Front Populaire doit proposer le nom d'un candidat d'ici "la fin de la semaine", selon Mathilde Panot, tour d'horizons des prétendants évoqués par les différents partis.

    Arrivé en tête lors du second tour des élections législatives mais dont certains refusent de voir un Premier ministre issu de leurs rangs, le Nouveau Front Populaire évoque plusieurs noms en interne.

    Côté socialiste, le nom d'Olivier Faure revient fréquemment, tandis que du côté des Insoumis, Clémence Guetté, Manuel Bompard ou encore Clémentine Autain sont évoqués. Celui de Jean-Luc Mélenchon, jugé clivant, semble écarté. La synthèse pourrait venir de Marine Tondelier, secrétaire nationale EELV qui s'est fait remarquer durant la campagne des législatives.

    Le nom de Christian Estrosi, dont la démission de la tête de la métropole de Nice Côte d'Azur mercredi interroge, fait aussi parti des prétendants à la tête d'une possible alliance ou accord législatif entre la macronie et son ex famille politique, LR. Il a toutefois annoncé qu'il serait de nouveau candidat à la tête de la métropole.

    Au sein du Modem, membre de l'alliance macroniste, certains mettent en avant le nom de François Bayrou. : "Je suis là pour aider de toutes les manières possibles. Je n'exclus aucune manière possible d'aider", a réagi sur TF1 le président du MoDem. Autre nom évoqué, celui de Jean-Louis Borloo.

  • À quand un nom pour Matignon du côté du NFP ?

    Le Nouveau Front Populaire cristallise l'attention en attendant l'émergence d'un nom comme candidat pour Matignon. Quatre jours après leur victoire, inattendue, aux élections législatives, certains commencent à trouver le temps long.

    Invitée sur RMC, Sandrine Rousseau a déploré le temps mis à choisir un candidat. "Je trouve que nous mettons beaucoup trop de temps. On perd du terrain, et on inquiète aussi d’une certaine manière en n’étant pas capables de sortir une équipe et un gouvernement. Donc oui, nous avons notre part de responsabilité" dans la situation instable du pays.

    "À gauche, il se passe toujours la même chose : est-ce qu’on est là pour donner un élan ou pour savoir qui sera devant l’autre ? Il ne faut pas tomber dans ce travers", a déploré la députée réelue.

    La veille, Cyrielle Châtelain a également mis la pression sur ses camarades du NFP, estimant qu'il faut "être prêt extrêmement rapidement, si possible demain", soit ce jeudi, a affirmé la députée.

    Sur France Info ce matin, Mathilde Panot assure que le NFP aura "une équipe gouvernementale d'ici à la fin de la semaine", précisant que la décision prend du temps, car "il y a des discussions pour les postes à haute responsabilité".

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  • Larcher menace d'une motion de censure en cas de nomination d'un Premier ministre issu du NFP

    Alors que les tractations se poursuivent, à gauche comme à droite, pour trouver un nom de candidat de Premier ministre et pour tenter de nouer des alliances afin d'être majoritaire à l'Assemblée, le président du Sénat y est allé de son grain de sel.

    Reçu ses derniers jours par Emmanuel Macron, il a mis en garde le chef de l'État, ce jeudi sur BFMTV. "Cela ne correspond pas à la volonté des Français", martèle le président du Sénat, qui assure qu'il appellera à la "censure" en cas de gouvernement issu du Nouveau front populaire.

    Toujours dans cet entretien, le patron LR du Sénat a exclu une possible alliance avec les socialistes, les écologistes et les communistes en "signant une forme de contrat" avec La France insoumise. Il prône une "ligne indépendante" pour LR, et s’est de nouveau déclaré en faveur d’un "pacte législatif" de la droite avec le bloc central et ceux qui seraient partants sur des grands sujets au Parlement, citant notamment la justice des mineurs, le travail, le pouvoir achat, la sécurité ou encore la simplification. Une voie ouverte la veille par Laurent Wauquiez, élu président du groupe La Droite Républicaine (ex-LR) qui rejette une coalition gouvernementale", mais ouvre la voie à un possible "pacte législatif" à l'Assemblée.

    Quant à la date de la nomination du gouvernement, Gérard Larcher a assuré avoir plaidé auprès du chef de l'État pour qu'elle soit repoussée à l'après-JO au mois de septembre.

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  • Bonjour et bienvenue dans ce direct consacré aux conséquences des élections législatives et aux tractations pour tenter de créer une coalition entre les partis.